• Beaucoup se sont offusqués de la présence d'Israël en invité d'honneur du salon du livre de Paris. Les écrivains, eux n'ont pas boudé cette manifestation avant tout commerciale et peu, même parmi les rangs de ceux que l'ont dit « engagés » ont sacrifi é leur présence au profi t de leur idéologie. A un moment ou de nouveaux mouvements de contestation se créent dans les milieux littéraires en réponse au pouvoir politique en place, et où chacun y va de sa vergue, je constate avec ironie que malheureusement l'idéologie et les convictions ont peu de force face aux intérêts économiques et commerciaux des maisons d'édition. Seuls quelques pays arabes ont boycotté cette édition, quelques auteurs arabes. D'autres sont venus faire acte de résistance. Alors peut on réellement espérer un renouveau de la littérature comme un organe d'expression ou doit on se fondre dans l'intérêt général et économique et oublier que dans certains pays encore, écrire n'est pas une liberté mais un combat, et que le livre n'est pas un produit mais un moyen d'expression ?

    Antoine gavory

    MAGAZINE KOIKISPASS


     nda. L'association France Israel de Bourges a réagi à cet article et je souhaiterais publier leur réaction et ma réponse. Nous attendons pour le moment l'autorisation de son président.


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