• Taxe carbone, augmentation du gaz, des carburants, augmentation de l’électricité… on nous avait prévenus… la crise étant là, il faudrait faire des sacrifices. 300 000 chômeurs de plus annoncés en 2009 (car on a oublié dans le dernier calcul les 35 000 radiés, par erreur !), un milliard d’euros mis dans la tirelire de la BNP pour récompenser les traders, qui ont ponctionné l’état Français (donc nous) de 5 milliards pour se sauver de la faillite, suppression de la taxe professionnelle… Tout semble fait pour faire adhérer le pays à la grande organisation des pays du tiers-monde. Autorisation du travail le dimanche, sur la base du volontariat (on vous demandera bien sur avant de vous embaucher si vous êtes volontaire ou pas !), et rupture ainsi du dernier espace de liberté et de sérénité que constituait le repos hebdomadaire, refuge familial, culturel et ludique. La sacro-sainte religion du Travailler plus pour gagner plus est enfin appliquée… Hormis, le fait que ceux qui travaillent plus ne sont pas ceux qui gagnent plus ! Ernest Renan disait « La nation comme l’individu est l’aboutissant d’un long passé d’efforts, de sacrifices et de dévouements ».

    Alors oui, nous sommes encore une nation !


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  • Voilà enfin un président qui renoue avec les vieilles traditions de la France ! Il était temps !

    La France ce beau pays de colonisateurs qui, durant  des siècles, a su aller chercher ailleurs ce qui pouvait la faire grandir.  Ressources, main d’œuvre. … libéralisme à l’Américaine, retraite à 67 ans, comme en Allemagne… toutes les réformes aujourd’hui sont justifiées par le « oui mais là bas c’est pire, ou « là bas ils font comme ça »… alors pourquoi pas nous ? Pourquoi ne pas interdire la presse « comme en Iran », pourquoi ne pas supprimer les élections, comme en Corée du Nord ? Pourquoi ne pas rétablir le travail des enfants, comme en Chine ? Pourquoi ne pas interdire les grèves ? Après tout cela fait 150 ans que nous prônons la démocratie à la Française, nous pouvons bien pour une fois cesser d’être des précurseurs et nous vautrer, nous aussi dans la facilité. Sans presse, plus de contestation, sans sécurité sociale, plus de déficit, sans élections, plus de difficile choix à faire. Il faut aller plus loin ! YES, WE CAN ! Malgré tout cela, Bonnes vacances aux 62% qui pourront partir, et rassurez vous, il reste encore ceux qui ne pourront pas pour surveiller toutes les réformes antidémocratiques qui passeront durant l’été (Forcément, pendant que vous êtes à la plage, vous n’écoutez pas les infos !)… Et puis soyons rassurés, nous avons maintenant Ségolène pour nous excuser de tout ! Bonnes vacances et à la rentrée ! (enfin j’espère…)

     

    Antoine Gavory

    http://www.gavory.blogg.org


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    C’était vous mon amie

    (Gavory/Briey)

     

    Un matin de l’été sur le bord d’un canal

    Je m’étais endormi dans les herbes

    J’avais froid je tremblais, la rosée matinale

    Formait des gouttes au bout de mes lèvres

     

    Un oiseau se posa sur le bord de ma main

    Tourna son regard vers l’horizon

    Puis soudain s’envola sur la cime d’un pin

    Et me fit cette proposition

     

    Veux tu venir avec moi en haut des arbres

    Voir si le monde est plus beau et le parfum du ciel

    De là haut nous verrons si tu es capable

    D’ouvrir ton cœur au soleil

     

    Il s’envola

    Il m’entraîna

    Me posa sur la cime du plus haut des chênes

    Il me conta

    Il me montra

    Il me montra le monde de là haut et je vis que c’était le même

     

    Quand il me prit le bras, qu’il me monta là haut

    Je vis que le monde était petit

    Je regardais au loin, je vis qu’elle était là

    C’était elle, c’était vous mon amie

     

    Je regardais encore et l’oiseau en colère

    Me dit tu n’admires donc plus rien

    Tes yeux se sont fixés sur cette demoiselle

    Tu n’es monté que pour voir plus loin

     

    Pourquoi es tu venu avec moi dans l’arbre

    Si ce n’est que pour voler et regarder en bas

    A bien y réfléchir tu n’es pas capable

    De croire en ce monde là

     

    Il me saisit

    Me descendit

    Me reposa au pied du tronc du plus gros chêne

    Il repartit

    Poussant un cri

    Mais je savais que de là haut le monde était encore le même

     

    Je ne veux plus t’accompagner dans tes arbres

    Car mon monde est bien plus beau depuis que j’ai l’amour

    D’avoir tout vu d’en haut je me sens capable

    D’aimer un cœur pour toujours


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    La douceur des choses

    (Paroles: A.GAVORY/ Musique: V.BRIEY)

    Quand l’amour s’en va, que les caresses s’éternisent

    Moments difficiles, chemins éblouis

    Sous la fièvre lente de tes doigts qui me poursuivent

    Je ne suis plus rien qu’un autre avenir

    Je resterai la femme de ta vie

     

    On se presse encore pour se regarder s’endormir

    Pas de gestes tendres, pas de souvenirs

    Comme un étranger qui s’arrête de courir

    Nous ne sommes que deux

    Je resterai la femme de ta vie

     

    Inventer le doute, l’amour et le non désir

    De ces hommes là que je vois vieillir

    Ne plus rechercher dans l’autre que de se sourire

    Amours poésie et tendres amis

    Je resterai la femme de ta vie

     

    Si je dis je t’aime ce n’est pas pour se séduire

    Un dernier regard, caresse amnésie

    Quand tout s’allume et que nos sentiments s’ennuient

    Tu es cette épaule où j’étais endormie

    Je resterai la femme de ta vie

     

    Pas de mariage, pas d’enfants pas d’avenir

    Juste une présence, pour se conquérir

    De consolations et de conseils pour nos vies

    Nos vies se résument à rester amis

    Je resterai la femme de ta vie

     

    Entre notre amour et l’amitié qui réunit

    Quelques gouttes d’eau, de fièvre et d’envie

    Adolescente, amoureuse d’un infini

    Conquête impossible, amours innocents

    Je resterai la femme de ta vie

     

    Quand l’amour s’en va et que mes larmes cristallisent

    Tu es mon épaule, mon souffle de vie

    Sous la fièvre lente de ta voix qui me souris

    Tu es devenu l’homme de ma vie

    Je resterai la femme de ta vie...

     

    Tous les textes de ces chansons ainsi que les partitions sont déposés auprès de la SACEM


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  • Pour écouter la version accoustique interprétée par Vaibay cliquez ici

     

    Soledad

    (Paroles: A. GAVORY/ Musique: V. Briey)


    Elle est partie au point du jour

    En me laissant dans mon ennui

    Alors je saigne toute la nuit

    En attendant un autre tour


    Un autre tour une autre vie

    un autre matin de chagrin

    Poser ma tête entre ses mains

    l’entendre respirer l’envie


    Elle est partie sans bruit

    Au milieu de ma vie

    Comme un rêve éveillé

    Je vais la rechercher


    Je vais la rechercher

    Pour mieux l’entendre rire

    Et l’entendre me dire

    Qu’elle va se retourner


    Elle a le cœur bien accroché

    à ses idées de baladin

    D’elle il ne me reste plus rien

    Qu’une peau nue évaporée


    Elle est partie au mois de mai

    Comme on se retire de la piste

    En abandonnant le clown triste

    Qui n’a plus la force de pleurer


    Elle a franchi l’obstacle

    Pour quitter le spectacle

    Spectateur oublié

    Sur un autre sentier


    Sur un autre sentier

    Où je n’ai rien à vivre

    Que de la voir partir

    Sans même se retourner


    Elle est partie avec ma vie

    Suspendue au bout de ses lèvres

    Toutes les nuits dans mon sommeil

    je la rêve au creux de mon lit


    A-t-elle encore sur sa peau frêle

    Le doux parfum de mon désir

    Si elle pouvait me revenir

    Et devenir mon éternelle


    Elle a franchi le ciel

    Emplie de certitudes

    Et de ma solitude

    Elle nourrira ses rêves


    Elle nourrira ses rêves

    Et sans le savoir même

    Qu’au fond de mon sommeil

    Je resterai le même


    Elle a franchi le ciel

    Emplie de certitudes

    Et de ma solitude

    Elle nourrira ses rêves


    Elle nourrira ses rêves

    Et sans le savoir même

    Qu’au fond de mon sommeil

    Je lui dirai je t’aime


    Je lui dirai je t’aime.


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